Mme Céline Cassoulet, 48 ans, secrétaire pédagogique à l'UFR SVTE

Céline Cassoulet est contractuelle au service de la scolarité de l’UFR SVTE depuis le 01/09/2023. Remplaçante de Line Alexander, elle est en charge de l'accueil des étudiants en licence 1ère année. Secrétaire de formation, Céline Cassoulet a 28 années d'expérience en secrétariat et assistanat administratif dans les secteurs publics et privés. Elle a effectué son dernier emploi à l'Institut Agro Dijon (2020-2022) comme secrétaire gestionnaire de laboratoire de recherche.

[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Mme Alexandrine DANIEL" _id="25329"][kc_column_text _id="133124"]

Alexandrine Daniel, ATER à l’UFR SVTE en section 67 et réalise ses travaux de recherche au laboratoire Biogéosciences dans l'équipe BioME.

Alexandrine Daniel est doctorante en 4^e année au laboratoire Biogéosciences, dans l’équipe BioME. Ses travaux de recherche portent sur l’étude des effets de l’hétérogénéité spatiale du paysage sur les patrons de diversité génétique. En particulier, elle emploie les concepts et outils de la génétique du paysage pour évaluer la connectivité des populations d’oiseaux dans la région Caraïbes. Durant son ATER à l’université de Bourgogne, elle sera amenée à enseigner les biostatistiques et l’écologie aux étudiant·e·s de licence.

Mme Adélie Dumont, maître de conférences dans la section CNU 66 et réalise ses travaux de recherche à l'UMR "Procédés Alimentaires et Microbiologiques"

Adélie Dumont a été recrutée en tant que maître de conférences en physiologie animale (section CNU 66), enseignant au sein de l’UFR SVTE et chercheur au sein de l’UMR Procédés Alimentaires et Microbiologiques (PAM), dans l’équipe Procédés Microbiologiques et Biotechnologiques (PMB) à l’Institut Agro Dijon.

Adélie Dumont est titulaire d'un doctorat en physiologie et immunologie qu'elle a réalisé au sein du laboratoire INSERM LNC (Lipides Nutrition Cancer) dans l'équipe du Pr Ghiringhelli, sous la direction du Dr Mickaël Rialland à Dijon. Ses recherches ont notamment porté sur l'impact des acides gras oméga 3 dans la résistance aux traitements des cancers colorectaux. A la suite de sa thèse, elle a intégré le laboratoire INSERM C3M (Centre de Médecine Moléculaire Méditerranéen) dans l'équipe du Dr Yvan-Charvet à Nice, où elle a étudié l'implication du métabolisme de la glutamine des macrophages dans le développement des maladies cardiovasculaires. En 2021, Adélie Dumont intègre le groupe du Pr Gilliet au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois à Lausanne où elle s'est intéressée aux relations entre les cellules immunitaires de la peau et le microbiote cutané dans le processus de cicatrisation. Adélie Dumont mène aujourd'hui ses recherches au sein du laboratoire PAM et travaille sur l'interaction des cellules intestinales avec le microbiote intestinal.

[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Mme Léa FERRETTI" _id="816851"][kc_column_text _id="7075"]

Mme Léa Ferretti, secrétaire de direction de l'UFR SVTE

Léa Ferretti a obtenu un master en Sciences humaines et sociales mention recherche en histoire médiévale à la suite duquel elle a enseigné l'histoire-géographie pendant un an en collège et lycée. Puis, pour des raisons personnelles, elle a dû changer de domaine et a été chargée de projet à la CARSAT BFC. La voici de retour à l'uB mais en tant que personnel cette fois-ci! 

[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="M. Robin HAVAS" _id="984323"][kc_column_text _id="342753"]

M. Robin Havas, ATER à l'UFR SVTE dans les sections CNU 35/36 et réalise ses travaux de recherche dans le laboratoire Biogéosciences

Fraîchement diplômé d'un doctorat de géochimie / géobiologie au laboratoire Biogéosciences de l'uB (2020-2023), Robin Havas débute un contrat ATER pour lequel il enseigne des cours de paléontologie, d'introduction aux sciences de la Terre et des sorties de terrains, en parallèle de ses recherches de caractérisation des environnements "primitifs" passés et de leurs analogues actuels. Au moyen d'analyses géochimiques et notamment isotopiques (du carbone, soufre, azote et oxygène), Robin Havas tente de comprendre l'enregistrement sédimentaire comme marqueur des processus physico-chimiques et biologiques opérant dans des environnements "primitifs". Avant sa thèse, il a effectué ses études au sein de l'institut de physique du globe de Paris (IPGP) et l'Université de Paris Diderot (2013-2019), et a passé une année à l'université du Texas (UT) à Austin (2016-2017). En contrat jusqu'en février 2024, Robin Havas est à la recherche d'une position de post-doctorat pour poursuivre ses recherches en France et à l'étranger.

[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Mme Tassadit KACI" _id="18460"][kc_column_text _id="927753"]

Mme Tassadit KACI, 31 ans,  ATER à l'UFR SVTE dans les sections CNU 35/36 et réalise ses travaux de recherche dans le laboratoire Biogéosciences

Son rôle implique l'enseignement de la géologie et de la paléontologie aux étudiants en Licence. Le parcours académique de Tassadit KACI est le suivant:

• 2019-2023 : Doctorante en Géosciences à Normandie Université, Université Le Havre Normandie, UMR 6294 LOMC-ULHN, Le Havre.
• 2017-2019 : Master STPE (Sciences de la Terre et des Planètes, Environnement) avec une spécialité en Réservoirs à l'Université Aix-Marseille (AMU), Marseille.
• 2013-2015 : Master en Bassins Sédimentaires à l'Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, Algérie.
• 2010- 2013 : Licence en Géologie Générale à l'Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, Algérie.

[/kc_column_text][/kc_accordion_tab][kc_accordion_tab title="Mme Laetitia MERLE" _id="355907"][kc_column_text _id="261323"]

Mme Laetitia MERLE, maître de conférences à l’UFR SVTE dans les sections CNU 68/69 et réalise ses travaux de recherche au Centre des Sciences du Goût et de l'Alimentation

Cinq ans après y avoir soutenu sa thèse, Laetitia Merle est de retour à l’université de Bourgogne et au CSGA. Ses travaux de thèse ont montré un impact délétère d’une alimentation maternelle grasse et sucrée sur la perception olfactive de la progéniture. Laetitia Merle est ensuite partie en post-doc aux Etats-Unis (Denver) pour étudier les dérèglements du système olfactif dans le contexte des infections virales et des maladies neurodégénératives. Elle a continué de caractériser les dommages causés par les virus respiratoires sur le système olfactif en région parisienne (INRAe de Jouy-en-Josas), où elle a étudié la perte d’odorat liée à la Covid-19 dans le modèle hamster. De retour à Dijon, Laetitia Merle réintègre le CSGA pour travailler sur la plasticité des circuits neuronaux régulant la prise alimentaire. Côté enseignement, Laetitia Merle intervient dans les cours de biologie animale, physiologie et neurosciences.