8ème congrès de Physiologie, Pharmacologie et Thérapeutique Dijon, 4-6 avril 2012
8ème congrès de Physiologie, Pharmacologie et Thérapeutique
Le huitième congrès de Physiologie, Pharmacologie et Thèrapeutique se déroulera à Dijon les 4, 5 et 6 avril 2012
Placé sous la présidence honoraire de Roger GUILLEMIN, Prix Nobel de Médecine 1977, P2T se tiendra en 2012 au palais des congrès à Dijon. Organisé conjointement par la Société de Physiologie et la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique, ce congrès réunit annuellement 800 à 900 personnes. Il accueille de nombreux collèges d’enseignement et associations scientifiques : association des Centres d’Investigation Clinique (CIC), association Pédagogique Nationale pour l’enseignement de la Thérapeutique (APNET), Société de Pharmacovigilanc, etc.
Le thème du 8ème congrès P2T, « Nutrition : du plaisir à la maladie », n’a pas été choisi seulement pour la richesse de la gastronomie et des vins de notre belle région, mais surtout pour son excellence dans le domaine de l’alimentation avec le pole de compétitivité VITAGORA et la présence de nombreuses équipes de recherche (INSERM, CNRS, INRA, Université) spécialisées dans le domaine de la nutrition et des troubles métaboliques.
Trois conférences par Etienne CHALLET (Strasbourg), Nicolas SIMON (Marseille) et Martine LAVILLE (Lyon) ouvriront le congrès sur le thème de l’obésité et des comportements alimentaires. Différents symposiums physiopathologiques, pharmacologiques et thérapeutiques seront organisés autour des thématiques « obésité, syndrome métabolique et risques de complications cardiovasculaires et de cancer ». Deux sessions « Jeunes Chercheurs » permettront aux étudiants et aux jeunes enseignants et chercheurs de rapporter et discuter leurs travaux quelle qu’en soit la thématique. Cinq prix seront attribués aux meilleures communications orales et affichées.
P2T 2012 sera un rendez-vous majeur pour l’ensemble des professionnels travaillant dans le domaine de l’alimentation, du surpoids et des désordres métaboliques, qu’il s’agisse d’industriels, d’enseignants ou de chercheurs.